Bien qu’elle soit moins utilisatrice, c’est paradoxalement pour une population plus gée, composée de personnes séparées ou divorcées, que les sites jouent un rôle de plus en plus important pour trouver un conjoint. Entre 2005 et 2013, 10 % des secondes unions résultent de rencontres en ligne, contre 5 % des premières unions. « Les jeunes sont aussi là pour flirter et mesurer leur attractivité, ils ont de nombreuses autres occasions de rencontres, explique Mme Bergström. En revanche, le cercle relationnel des personnes séparées comporte souvent des individus déjà en couple. Ils ont moins d’opportunités et sont donc plus volontaristes dans leur usage de ces sites. »